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Rassembler la documentation

 

Le 8 octobre 2018 : visite du Musée de la résistance

 

Le 14  octobre 2018, représentation à la salle de Carroir (La Chaussée Saint Victor) de la pièce Juin 40, de et par La Compagnie du Hasard.

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Le 12 novembre 2018 : rencontre avec un responsable des Archives départementales.

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Le 26 novembre 2018, rencontre avec des Résidents de l'EPAD L'Ecureuil à La Chaussée Saint Victor.

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Article dans La Nouvelle République : 

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Rencontre “ autour de juin 1940 ”

Publié le 01/12/2018 à 04:55 | Mis à jour le 01/12/2018 à 04:55

La rencontre intergénérationnelle a permis aux élèves de poser leurs questions concernant l’exode.
 

Lundi, sept élèves de la seconde 7 du lycée Augustin-Thierry, accompagnés de leur professeur Corinne Le Lay, ont participé à une rencontre avec 21 résidents et résidentes de l’Écureuil à La Chaussée-Saint-Victor, à l’occasion d’un projet culturel financé en partie par la Région (dans le cadre du dispositif « Aux arts lycéens ») et par le lycée.
L’initiative, intitulée « Autour de juin 40 », a pour vocation de mettre en jeu des compétences écrites et orales, de favoriser l’autonomie des élèves – qui seront engagés sur l’ensemble de l’année scolaire – et de les conduire à travailler de manière interdisciplinaire avec leur professeur d’histoire. Après avoir assisté à la représentation théâtrale de la pièce « Juin 40 » au Carroir, et après avoir visité le musée de la Résistance à Blois, les élèves se sont intéressés à l’exode de juin 1940.
Après la rencontre avec un intervenant des Archives départementales, les scolaires avaient donc rendez-vous avec les résidents de l’Écureuil témoins de ces événements, parmi lesquels Michel Ollivier et Georges Guindeuil, qui ont évoqué le départ en voiture ou avec des chevaux, en emportant l’essentiel, les bombardements des ponts, le retour au domicile, parfois occupé entre-temps par une autre famille.
De nombreuses questions avaient été préparées par les jeunes du lycée, dont la suivante : « Après la guerre, comment avez-vous fait pour vous reconstruire ? » A cette époque, les populations ne pensaient pas, dans l’ensemble, à la reconstruction psychologique, mais à la reconstruction des bâtiments, le plus important étant la survie. Les questions d’hygiène aussi ont interpellé. La réponse fut assez simple : « On pensait peu à la toilette, l’eau était réservée aux chevaux. »
Représentations à Feings et au lycée Deux ateliers d’écriture seront programmés, suivis, en avril ou en mai, par une mise en espace des textes rédigés en partenariat avec la Compagnie du Hasard. En mai, une représentation sera donnée à Feings, avant une dernière, au lycée.

 

Le 4 février 2019, rencontre avec deux intervenantes du CADA de Vendôme et un demandeur d'asile, venu de Sierra Leone.

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